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Sauve-moi, Guillaume Musso

Mon premier Musso !

Il fallait bien se laisser tenter un jour… J’étais en vacances, arrivée à court de lectures, et mon amie m’a prêtée ce roman. C’est donc comme “dépannage” que ce premier Musso a atterri entre mes mains. Retour sur mes premières impressions :

Pour détailler un peu plus aisément mes sentiments au fil de ma lecture, on peut diviser ce roman en quatre parties.

Une première partie lente d’une centaine de pages qui amène seulement au résumé de la quatrième de couverture. Puis l’histoire avance. Et enfin la tension narrative s’élève. Je dirai qu’une troisième partie s’enchaine vite, mais comme une parenthèse ; en effet, Juliette est absente de l’action. Lorsqu’enfin beaucoup de mystères sont résolus, que l’on pense toucher à la fin du roman, il reste une quatrième partie, encore cent pages environ. Bon, là encore, ça se traîne un peu. Jusqu’à UNE phrase qui éveille de nouveau la curiosité.

Vous l’aurez compris, j’ai alterné entre quelques lenteurs, lassitudes, et avide curiosité.

Finalement, cela m’aura quelque peu fait penser aux romans YA (pour le fond intriguant, et la forme que je trouve toujours trop simple).


Je replongerai peut-être le nez dans un nouveau Musso en vacances, les orteils chatouillant le sable et le vent mes cheveux. L’écriture simplette de cet auteur a la particularité de faire de ses romans de véritables “page-turner” et c’est souvent ce que je recherche en vacances. J’ai besoin de ce sentiment de satiété, de lire, lire, énormément, afin de rattraper toutes les pages que je n’ai pu parcourir pendant l’année. Ce roman avalé en trois jours, avec une intrigue tout de même prenante par moments, remplit ce désir recherché.

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